14 octobre

C’est l’histoire d’un Amour impossible. Pourquoi impossible ? Parce que les héros de cette histoire cherchent à ce rendre la vie impossible.

Mon histoire aurait pu commencer comme ça, car, s’en le vouloir, on cherche à se rendre la vie impossible. Souvent on se pose

la  DOULOUREUSE

question de « pourquoi ? », mais pourquoi quoi ? C’est une question à laquelle personne ne peut y répondre. C’est comme ça, on n’y peut rien et de toutes façons, si on savait y répondre cela ne changerait rien. « Pourquoi ? »… Et bien, parce que… mais si on avait su pourquoi avant, est-ce qu’on aurait pu éviter ce qui nous ait arrivé ; Est-ce qu’on aurait pu changer notre destin… On sait pas. JE NE SAIS PAS.

Qu’est ce que le destin ? C’est quelque chose qui est tout tracer, c’est écrit dans nos vies, « Mektoub » - comme dirait quelqu’un que je connais-. Moi, j’y crois au destin, je veux y croire, on ne peut aller à l’encontre de notre destin, c’est impossible. C’est comme ça, c’est la vie !!!

Elle n’est pas toujours facile la vie, mais elle vaut la peine d’être vécue.

Elle est belle la vie

Ceci est le début de quelque chose, écrit sur le bord d’un comptoir - ça fait très professionnel… dans un jour de lassitude -ça arrive…- mais aussi et surtout de solitude -l’un ne va pas sans l’autre…- Je ne sais pas où cela va me mener, je ne sais pas si un jour j’arriverai à répondre à la question de « pourquoi » mais si vous, vous le pouvez, faites-le-moi savoir.

Je me sens seule c’est vrai, et pourtant je ne le suis pas. Comme tout le monde, j’ai des gens qui m’aiment, qui m’entourent, qui me protégent en qui j’ai énormément confiance et heureusement qu’ils sont là, sans eux ma vie serait différente de ce qu’elle est.

Seule, c’est toujours plus difficile…

C’est un sentiment étrange, on est dans un lieu public, entourée de personne que l’on ne connaît pas et je révèle mes sentiments. J’adore écrire avec du monde autour de moi ; ils se demandent tous qu’est-ce que je suis en train d’écrire -mais le dernier Pulitzer…-, le plus fort c’est qu’il ne peuvent pas me lire. C’est… c’est quelque chose d’indescriptible. C’est peut être comme lorsqu’on dévore un bouquin assis à une table, on est plongé dans un autre monde.

Allez dans un café ou ailleurs, asseyez-vous où vous le souhaité - la place a peut d’importance-, moi, je suis au bar, au moment même où j’écris ces quelques lignes. Asseyez-vous, prenez une feuille et écrivez ce qui vous passe par la tête, vous verrez votre stylo ne s’arrêtera plus. Pour moi, il court encore. Si toute fois vous essayez, n’hésitez surtout pas à vous lâcher….